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Galerie Harmattan
40, rue Saint Jean 74120 Megève FRANCE
Tel. +33 (0)6 67 01 93 81


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Daniel Castan, ce grand peintre de l’urbain et plus particulièrement de New York, propose au spectateur une nouvelle série d’œuvres. Ces pièces lumineuses nous offrent des visions ouvertes de la ville de « Big Apple » : le Museum Mile, mais aussi une vue du pont de Manhattan. Toutes deux dans des tons à dominante beige ou crème, d’une grande sobriété en même temps que d’une grande délicatesse. Ce peintre habituellement en force, en matière, propose ici un travail tout en retenue. La composition change certainement, mais le fond lui reste le même : perspectives, assemblages de couleurs, profondeur de champ… et la lumière qui font des peintures de Daniel Castan des œuvres reconnaissables entre toutes !

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On n’a que trop parlé de la tectonique urbaine des œuvres de Daniel Castan, qui fait de ses villes des soulèvements brutaux, quasi des surgissements !

Il est facile effectivement au premier regard, de se laisser submerger par la dynamique de ces œuvres. Et qui ne l’a pas été par la réalité de New York, de Singapour, ou de San Francisco. Pour qui connaît justement ces villes, elles ne sont pas juste de l’architecture : elles sont une atmosphère, une ambiance, une lumière, quelque chose de ténu bien plus impalpable que du vertical et de l’horizontal. Pour qui connaît ces villes elles sont belles sous certaines couleurs que l’on ne retrouve que là-bas et dans les œuvres de Daniel Castan. Il s’agit d’un trait de lumière qui illumine un carrefour, de brumes qui offusquent le lointain, d’un mélange incertain de tons, de bâtiments juxtaposés, serrés, qui se chevauchent et finissent par disparaitre.

Et l’ombre et la lumière dans tout cela scandent un rythme, ouvrent les perspectives ou les obstruent, donnent à ressentir l’impalpable.


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Certains ont pu reconnaître dans les dernières toiles de Daniel Castan la ville de San Francisco. Et effectivement l’hiver de Daniel Castan s’est passé plus à l’ouest qu’à l’accoutumée, laissant quelques peu New York et ses avenues pour les rues en pente de Frisco.

Le travail toujours aussi dynamique, et en matière dépeint toute l‘énergie, la force de ces paysages urbains. Les nouveaux formats plus allongés encore (120×40 cm) accentuent la verticalité des villes tandis que de profondes trouées de ciel, toute en transparence mettent en valeur les perspectives dans l’œuvre.



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